Le bleu au bord des yeux
Le blues du jazzman
The blue note
The blue blue sky
The blue lagoon
B L E U
Le bleu au bord des yeux
Le blues du jazzman
The blue note
The blue blue sky
The blue lagoon
B L E U
Infini et in fine n’ont rien à voir. A une lettre près, quel dommage !
L’un est fini, l’autre pas fini. Lorsque parfois on peut amener une conclusion ou une finalité, d’autres fois on ouvre une foule de questions sans fin.
A midi, j’ai fini de manger une barquette de fraises, j’ai fini de regarder un film hier et j’aimerais finir de lire mon livre. Lire la dernière page, j’en ai toujours un ptit frisson. C’est la fin d’une histoire, d’un univers, d’un voyage. C’est aussi le début de nouvelles volontés et d’histoires à venir. C’est souvent même un pont qui se construit entre un univers découvert et un nouvel à venir. Un pont, c’est fabriqué de pierres anciennes, de poussières de rêve, de paillettes agglomérées. Chaque poussière est unique. Chaque paillette brille à la lumière ou à l’aurore.
L’infini est indéfinissable à part en mathématiques. Même le temps aurait une fin. Un petit « in » devant un mot et tout s’effondre et fond. Jusqu’aux horloges qui s’étirent et s’étendent. Jusqu’aux doubles décimètres qui se dédoublent.
La seconde, le nanomètre, le picomètre, le femtomètre, l’atto..mètre, le zepto..mètre et pourquoi pas le yocto..mètre
L’espoir nous anime, nous entoure, nous illumine
L’espoir, cette étoile qui scintille à toute heure
L’espoir, qui parfume nos journées
L’espoir, comme un levé de soleil en haut d’une montagne
L’espoir, qui s’en va et qui revient
L’espoir, en suspension dans l’air
L’espoir, cette épaule accueillante
Les nombres ont plusieurs définitions, jusque là c’est normal, ils sont nombreux, Cependant les définitions ne sont tout de même pas infinies.
La première dans le Larousse est la suivante : Notion qui permet de compter, de dénombrer les choses ou les êtres, de classer les objets, de mesurer les grandeurs.
Les suivantes sont toutes aussi soporifiques.
Ces nombres, petits et parfois moins petits, nous suivent et nous précèdent. Le premier jour de notre vie, notre première dent … et ce qu’à la dernière, dent. Ils dénombrent donc, des vivants et des morts. S’incorporent dans des graphes et autres tableurs excel.
Certains comptent leurs billets, d’autres vérifient le cours de leur action. Les nombres croissent, décroissent, au fil de l’histoire, de l’actualité, des heures. La taille de ces nombres est d’une importance capitale pour certains d’entre nous.
Certains nombres même copinent avec des lettres, le G7, le CAC 40, le G20.
On dénombrerait sur Terre 7,7 milliards d’Homo sapiens. Et quelques 9,7 milliards d’ici 30 ans. L’Asie accueillant 4,5 milliards de personnes, l’Europe à peine 700 mille et les Etats-Unis 300 mille. Les nombres s’affolent, décollent, voltigent ! Et zioup, le nombre de naissances, de décès, d’achat de télévision ou de journaux, le nombre de personnes obèses ou n’ayant pas accès à l’eau, les arbres, le CO2, le pétrole, le charbon, le SIDA et même le Covid 19 https://www.worldometers.info/fr/
Est-ce bien rationnel tous ces nombres, son-ils bien réels ou irréels ? Certains sont transcendés par les nombres, d’autres en font des théories.
N’oublions pas que nous faisons pâle figure comparés aux Arthropodes, on en connait près d’1 million et il en existerait sur Terre 30 fois plus !
Alors, dansez les nombres, dansez !
Oui, les moineaux rigolent. Les moineaux, et aussi les mésanges. Quelques tourterelles paradent, copulent gaiement. Deux, trois pigeons les observent dubitatifs. Quelques pies bavardent sur les pelouses. Et des merles mâles les draguent, un ver au coin du bec. Les étourneaux font les étonnés en tournant dans le ciel. Les moineaux gazouillent sur leurs branches, les tourterelles charbonnent, les rouges-gorges babillent. Et les chinoises rient aussi !