Moi je veux être connu. Tu sais pourquoi ? Pour niquer les gonzesses. Quand tu es célèbre, tu niques plein de gonzesses.
Oh la tarte, çui-ci.
Moi je suis sûr qu’on dit « quiche ». Enfin bon…
Arrêtez les gars, zêtes lourds.
Bon maintenant tu arrêtes ! Parce que je te ferais dire que pendant qu’on parle, Peter il a la méga chiasse. Alors un peu de dignité, s’il te plaît !
Moi ce qui me fait chier c’est les effets spéciaux minables. Je supporte plus.
Abritons-nous, ça va pas tarder à péter !
Oh, et encore c’est rien !
Mêle-toi de tes affaires, toi. Tu sais bien que madame Felipe, la patronne se coupe les morceaux de nichon pour en faire des ravioles.
Oh putain je suis impressionné.
Oh, tu nous fatigues, qu’est-ce qu’il y a encore, tu n’arrêtes pas de te plaindre !
J’ai faim.
Blablabla, j’ai les bonbons qui collent au papier.
On va manger… des chips ! T’entends ?!? Des chips ! C’est tout ce que ça te fait quand je te dis qu’on va manger des chips ? Mais qu’est-ce qui t’arrive? Pourquoi tu dis rien, tu fais la tronche ou quoi?
Parce que si on réfléchit bien, moi je suis un vrai démocrate. George est un fasciste de merde. Un fasciste de merde !
Tu n’es vraiment pas très sympa. Mais le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence. Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd.
Hop hop hop ! Et notre répétition de scie musicale ?